26/02/2008
C. Pecqueux et son équipe présentent 50 propositions pour l’avenir de Busigny (extrait de la Voix du Nord)
Il l’avait annoncée en décembre. Christian Pecqueux, conseiller municipal d’opposition depuis 1995 et ancien adjoint aux finances, a présenté sa liste d’« Union pour l’avenir de Busigny », dimanche, et son programme qui s’articule autour de cinquante propositions pour le village.
Parmi celles-ci, il reprend bien entendu son principal cheval de bataille : la cantine scolaire ou plutôt son absence. « Nous sommes la plus grosse commune du Cambrésis à ne pas en avoir », regrette celui qui « ne veu(t) pas que (sa) commune soit un village dortoir ». D’où, à ses yeux, la nécessité de se « doter d’équipements pour les enfants ». La cantine donc, une halte-garderie aussi.
Plus généralement, C. Pecqueux souhaite « redonner du dynamisme » à Busigny. Il a donc souhaité s’entourer d’une équipe jeune - la moyenne d’âge est de 45 ans - qu’il juge parfaitement complémentaire avec son expérience d’ancien adjoint aux finances de 1977 à 1989. Un passé d’élu qui lui permet d’assurer : « Nous réaliserons ses cinquante propositions sans augmenter la pression fiscale. » Entre autres propositions, six sont spécialement destinées aux personnes âgées, notamment la mise en place de transport le jour du marché, mais encore la création d’un accueil de jour « dans le cadre de l’intercommunalité », précise Christian Pecqueux. Façon de dire qu’il estime Busigny, pourtant deuxième commune dans la communauté du Caudrésis, trop en retrait. Et de donner l’exemple de villages d’importance quasi similaire type Beauvois-en-Cambrésis ou Walincourt-Selvigny. Une dernière commune dont il souligne la prochaine construction d’une caserne pendant que le corps et l’école de sapeurs-pompiers de Busigny attendent toujours leur local. Son programme propose de le trouver.
Comme il se penche sur les associations, les sports, l’animation (concours de maisons fleuries…), le commerce, le cadre de vie (fleurissement, réfection façade de l’hôtel de ville…), l’éclairage public, la voirie (nettoyage des trottoirs…), etc. Le tout en cinquante propositions.
Parmi celles-ci, il reprend bien entendu son principal cheval de bataille : la cantine scolaire ou plutôt son absence. « Nous sommes la plus grosse commune du Cambrésis à ne pas en avoir », regrette celui qui « ne veu(t) pas que (sa) commune soit un village dortoir ». D’où, à ses yeux, la nécessité de se « doter d’équipements pour les enfants ». La cantine donc, une halte-garderie aussi.
Plus généralement, C. Pecqueux souhaite « redonner du dynamisme » à Busigny. Il a donc souhaité s’entourer d’une équipe jeune - la moyenne d’âge est de 45 ans - qu’il juge parfaitement complémentaire avec son expérience d’ancien adjoint aux finances de 1977 à 1989. Un passé d’élu qui lui permet d’assurer : « Nous réaliserons ses cinquante propositions sans augmenter la pression fiscale. » Entre autres propositions, six sont spécialement destinées aux personnes âgées, notamment la mise en place de transport le jour du marché, mais encore la création d’un accueil de jour « dans le cadre de l’intercommunalité », précise Christian Pecqueux. Façon de dire qu’il estime Busigny, pourtant deuxième commune dans la communauté du Caudrésis, trop en retrait. Et de donner l’exemple de villages d’importance quasi similaire type Beauvois-en-Cambrésis ou Walincourt-Selvigny. Une dernière commune dont il souligne la prochaine construction d’une caserne pendant que le corps et l’école de sapeurs-pompiers de Busigny attendent toujours leur local. Son programme propose de le trouver.
Comme il se penche sur les associations, les sports, l’animation (concours de maisons fleuries…), le commerce, le cadre de vie (fleurissement, réfection façade de l’hôtel de ville…), l’éclairage public, la voirie (nettoyage des trottoirs…), etc. Le tout en cinquante propositions.
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